Prispevek proučevanja rimske keramike k poznavanju gospodarske zgodovine naših krajev
Povzetek
Le présent article essaie, avant to u t su r la base des nouvelles découvertes, reprendre les données qu’il est possible d ’obtenir sur la vie économ ique à l’épo[1]que rom aine su r le territoire de la Slovénie actuelle, avec l’étu d e de la céra[1]mique. Tout d’abord (I) il parle des preuves de l’existence d’ateliers de poteries sur ce territoire, à savoir des preuves directes (1) — les fours. Nous avons trop peu de renseignem ents sur certaines découvertes anciennes de fours pour pouvoir en conclure quoi que ce soit. Ainsi, nous ne connaissons m ieux jus[1]qu’ici que le four de potier de V elika vas près de Krško, q u i faisait partie d’un plus grand atelier, et quelques m oindres fours qui trav a illa ie n t seulement pour un cercle plus restrient de clients. P a r la suite, l’article essaie de p rouver encore d’autres ateliers de potiers indirectem ent (2), et cela par les caractéristiques des articles, corne l’avait déjà fait en partie Schörgendorfer. L’a u te u r de l’article utilise u n e telle méthode d’abord pour l’établissem ent de plusieurs ateliers locaux de céram ique de moins bonne qualité à la campagne (a), savoir les ateliers des vallées de Lož et de la Vipava, de Šem peter dans la v allée de la Savinja, des Slovenske gorice et du P rekm urje. P uis (b) il énum ère les exemples dans les lieux de l’utilisation de la céra[1]m ique de qualité inférieure des centres plus im portants. Mais ici il fa u t cepen[1]dant tenir com pte du fait qu’il est possible de tran sp o rter au loin aussi de la céram ique utilisable de moins bonne q u alité (exemple du pot d ’A uerberg). A la fin, l’au teu r cite la céram ique de m eilleure qualité (c), dont les caractéristiques m ontrent qu’elle est u n produit des ateliers de l’endroit, où elle était employée. Ces poteries com prennent de nom breaux p lats e t coupes, des assiettes grises im itées d’après la sigillata précoce et encore plusieurs autres copies d’après la sigillata, surtout en Slovénie orientale, un e p lu s grande partie de jarres à une anse, une partie des p etites tasses avec des incisions ou ornées de barbotine, des urnes de Neviodunum , des tirelires de Poetovio et des assiet[1]tes avec des parois droites. P a r l’extension des particularités locales, il sem ble que les ateliers des potiers ne travaillaient pas pour und grand territoire, dans le m eilleur cas pour la sphère de la ville du pays. P a r le fait que les changem ents du goût du tem ps se reflètent assez vite aussi dans les produits provinciaux, nous pouvons conclure que les producteurs et les clients vivaient en contact perm a[1]nent avec le développem ent ailleurs dans l’empire. D ans la deuxièm e partie (II), l’a u te u r de l’article p arle des caractéristiques du commerce de la céramique. Le m eilleur soutien en est la te rr a sigillata, bien qu’elle soit encore peu étudiée. D e toute façon nous devons constater le fait que dans toute la Slovénie on im porte d’abord la sigillata de l’Italie, et cela jusqu’à la fin du 1er siècle, alors q u ’au 2e siècle se m ultiplie fortem ent l’im portation du nord, à savoir la sigillata gauloise et germ anique. C ette si[1]gillata, cependant, prédomine seulem ent dans la p artie nord d e la Slovénie, alors que dans la Slovénie m éridionale on n e la connaît presque pas. Ici, l’au-leur discute du fait que la précoce sigillata en Slovénie est la preuve de la présence des soldats d an s tous les lieux, où elle a été trouvée. A l’exam en des m atériaux anciens, on p e u t é tab lir que dans la h a u te antiquité, dans les parties m éridionale et centrale, la Slovénie devait déjà être tellem ent rom anisée que les civils aussi achetaient la sigillata, p arce qu’on ne peut pas conjecturer de bases m ilitaires pour u n e série de gisem ents de sigillata précoce. P our obtenir un m eilleur aperçu du com m erce extérieur de la céram ique on a encore d’au tres céram iques m eilleures, produits des ateliers SVRVS — SARIVS, fréquents su rto u t à Em ona, les tasses d e barbotine, la céram ique en barbotine blanche et aussi la te rra sigillata chiara. Tous ces exem ples prouvent, à côté de la sigillata, que dans le com m erce ex térieu r de nos lieux dans la h au te an tiq u ité l’Italie m en ait expressém ent et que, dans les périodes u lté[1]rieures de l’antiquité aussi elle a conservé son im portance pour la Slovénie centrale et m éridionale, et que m êm e des parties septentrionale et orientale le com m erce des bords du D anube ne l’a pas évincé entièrem ent. Comme exem ple des grandes distances parcourues p ar le commerce extérieur, l’auteur de l’article m entionne à la fin quelques objets de faïence bleue, bien qu’ici il ne s’agisse plus de com m erce de la céram ique au vrai sens du m ot, mais du com m erce des accessoires cosm étiques.
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