Arheološke raziskave na Svetih gorah nad Sotlo
Abstract
Parmi les travaux archéologiques exécutés dans les années 1971 et 1972 se rangent les recher[1]ches à l’emplacement extérieur de la ferrasse sur la colline, en raison de travaux de conservation et de restauration sur les édifices sacrés de cet endroit. Ainsi, en 1971 on a recherché le secteur A, qui se trouve entre l’escalier droit et le clocher de l’église de la Vierge Marie, en raison de la mise du paratonnerre à la terre et de la réorganisation de l’escalier mentionné. Les travaux de conserva tion et de rénovation dans les chapelles de St. Boštjan et de St. Martin ont aussi exigé des recher[1]ches. On a recherché en outre le secteur D à l’extrémité inférieure à cause de l’escalier actuel qui méne à la colline et à un petit terrain plat sous le bord de la ferrasse derrière la chapelle de Lourdes (secteur E). Tous ces résultats et les résultats précédents imposaient des recherches organisées de cette loca[1]lité. A cette fin on a recherché Pemplacement qui se trouve au nord de l’abside de la Vierge (sec[1]teur B), qui a été en partie sondé en 1967/68, et Pemplacement suivant vers la chapelle de Lourdes (secteur C), où en 1967 on a fait le sondage 5—5a, reliant par ces travaux tout Pemplacement de l’abside de la chapelle de St. Georges au versant supérieur orientai sur une largeur de 5 m. Secteur A. A Pemplacement entre l’escalier et le clocher de l’église de la Vierge Marie et l’abside de la chapelle de St. Georges dans une vaste cavité, nous avons effectué un sondage d’nue grandeur 3.90 X 5.75 — 2.30 X 2.0 m. Les sédiment se composaient d’humus récent, de débris de construc[1]tion et de terre brun-gris. Dans cette dernière couche étaient enterrées des tombes à une profondeur de 0.70—1.10 m à l’extrémité nord et 0.10—0.30 m à l’extrémité sud. Les fosses tombales étaient au fond pour la plupart enfouies dans une base rocheuse; là où il n’y en avait pas, les tombes étaient entourées de pierres. Le secteur B a connu un sondage d’une grandeur de 2.10 X 5 m. Aussitòt au-dessous de l’humus récent il y avait la couche culturelle (0.20 m) et la base rocheuse, où étaient enterrées les fosses tombales. Ces données attestent que sur le versant orientai à la partie supérieure s’étendait une nécropole du Haut Moyen äge, dont les tombes appartenaient pour la plupart à la phase slave precoce. Par les fosses tombales dans le sol de la chapelle de St. Boštjan (Sebastian) et par le nombre des os disper[1]sés on peut conclure que la nécropole était assez grande. Dans le secteur A nous avons découvert 10 tombes in situ et 1 en position secondaire, et dans le secteur B 3 tombes. Us gisaient en deux couches. Selon la règie, la fosse tombale était couverte de gravier et de sable de rivière. Les squelettes étaient couchés sur le dos, les bras le long du corps, ou ils étaient déposés sur la hanche ou la poitrine. Us étaient orientés en direction O—E ou S—N. Us gisaient dans la fosse séparément ou deux personnes étaient enterrées ensemble en mème temps. Il n’y avait pas de traces de cercueil ou de planches. Dans le secteur A il y avait beaucoup de sépultures détruites. Dans la superficie recherchée jusqu’à présent, nous avons découvert dans 16 tombes environ 23 sépultures. Dans les tombes nous avons trouvé très peu d’inventaire qui comme les précédents fait partie du mème cercle culturel, à la dif[1]ference que maintenant avec les éléments découverts il détermine chronologiquement les découver[1]tes jusqu’à la moitié ou mème jusqu’à la fin du l l e s. Étant donné l’unité de la culture matérielle des tombes, l’orientation S — N n’a pas de signification culturelle et chronologique déterminée, et probablement elle se base sur la tradition plus ancienne. Dans le secteur C, les sédiments variaient de 0.30—1.20m d’épaisseur. Us se composent de terre noir-brun, mélangée de pierres. Cette couche est fortement endommagée par les fosses récentes pour le dépòt des ordures et des cendres. Le sondage mesurait 10.5 x 5.5 ou 2.5 m. A cet empla[1]cement, à l’exception de la tombe au sondage 5—5a/67 il n’y avait aucune fosse de tombes. Comme les sédiments ici n’étaient pas particulièrement résistants, l’emplacement de la fosse tombale a été fortement approfondi et au fond aplani jusqu’à la profondeur de 0.98 m. Au voisinage se trouve une couche de terre noire, où il y avait de grandes pierres non liées entre elles. Un plus grand nombre de pierres se trouvait aussi aux còtés nord et sud de la fosse, tandis qu’au milieu il y avait de la terre noire avec des os humains particuliers dispersés. Au bord nord-est de cet emplacement il y avait un fragment d’umbo, deux couteaux de fer et quelques fragments de tòle de fer et de cuivre. Le fond de la fosse était recouvert d’une couche de terre gréseuse rouge de 10 cm d’épaisseur, sur laquelle nous avons découvert l’unique fragment d’écuelle biconique cuite noir-gris et deux frag[1]ments de ferrure. Au nord du mur de la chapelle de St. Boštjan, nous avons trouvé des restes d’un mur (1 m de long), qui allait parallèlement à la créte de la colline vers le nord.Les objets mentionnés, les fragments d’os, la forme et la grandeur de la fosse sont des preuves irréfutables qui attestent qu’il y avait là une tombe détruite. Les pierres non liées dispersées font Partie du type des tombes à empierrement du défunt, type qui n’a pas de comparaison sur notre territoire. Elles sont caractéristiques comme tombes plates sur le territoire de l’Elbe et de l’AUe[1]magne centrale et pour la Bohème septentrionale. Dans la tombe de Svete gore on été détruites toutes les traces, par lesquelles il serait possible d’établir à quelle variante de ce type de tombes elle appartient. Par la forme de la fosse, il est sur que l’orientation était en direction N — S. Ce type de tombes est caractéristique au 5e siècle en Bohème comme groupe «vinarie», et en Allemagne jusqu’au début de 6e s. comme groupe «Niemberg». Parmi les materiaux mobiles, une place particulière revient à l’umbo, dont est conservée seule[1]ment la partie supérieure à prolongement en forme de tige. Parmi tous les exemplaires trouvés en Yougoslavie, il est le seul qui appartienne au type turingien. Il s’est développé à partir des proto[1]types antiques dans le cercie culturel de l’Allemagne centrale au 5e siècle. Il fait partie du type lib et à l’échelle chronologique de la phase la période de jusqu’à l’an 500 ou plus précisément entre 480 et 525. Les deux couteaux, qui étaient à coté de l’umbo, appartiennent au type à lame étroite et à longue épine du manche. Pour nos endroit, il est caractéristique pour la période romaine avancée et la période de la migration des peuples, comme pour tous les cercles culturels médiévaux. L’opinion prédomine qu’il a une origine germanique, resp. qu’il est l’oeuvre d’artisans germaniques déjà à la période romaine. Bien que par la forme ils rappellent les stylets, il est indubitable qu’ils ont pu servir à la fois d’armes et d’outils. Pour les découvertes céramiques, nous avons mentionné un fragment d’écuelle conique à col plus cylindrique. A la courbure, le vase avait une couronne aujourd’hui détruite, probablement avec de petites bosselures, collées séparément, ou de larges empreintes transversales ou des cou[1]pures arquées. Le vase était fait de terre, à laquelle on ajoutait du sable silicé. Il était forme à la main et achevé sur un tour simple. Bien qu’en Slovénie on connaisse deux trouvailles d’écuelle coniques de la période de la migration des peuples, il est indubitable que ce type n’est pas né ici et qu’il ne s’y est pas développé. Nous trouvons des analogies dans la céramique du type «vinarie» de la Bohème septentrionale, ou «Niemberg» de la vallèe de l’Elbe, où elle se manifeste comme une des formes guides au 5e siècle, pouvant ètre encore utilisée dans le premier quart du 6e siècle. Parmi les objets metalliques il y a encore une ferrure en forme d’anneau non fermé et ellipso'idale[1]ment courbée, probablement d’un objet plus grand. Les fragments de tòle métallique sont aussi difficiles à déterminer. Selon l’auteur, ils peuvent se ranger dans les récipients, bien que dans les cercles culturels nord mentionnés on ne mentionne que des récipients en bronze. D ’après les réci[1]pients en fer de Polhov grad, il conclut encore qu’à la fin du 5e s. et au début du 6e, on pouvait faire des récipients aussi à partir de ce métal, bien que ceux-ci aient d’autres formes. Sans égard aux objets qu’il n’est pas possible de déterminer, il est certain que cette découverte, ensemble avec les autres objets de 1967, surtout avec la lance, représente un ensemble culturel fermé. D ’après les éléments qui le composent, la tombe du combattant est apparentée à celles de la vallèe de l’Elbe et de la Bohème septentrionale, et non aux trouvailles analogues du cercie mérovin[1]gien oriental de la Pannonie. Il est possible de dater la tombe dans les premières décennies du 6e s., en prenant comme limite extrème la fin de son premier quart. Secteur D. Plusieurs fois on a découvert de nombreux fragments de céramique, d’os animaux et autres menues trouvailles au bord de la «nouvelle» voie, qui méne le long du versant nord a l’ouest de l’escalier mentionné au sommet de la colline. Les sondages effectués ont montré qu’ici, au début mème du chemin, il y avait probablement jadis une construction, derrière lequel passait aussi un chemin plus petit. Le mur était construit avec des grands blocs de pierre, liés avec un mor[1]der fortement calcaire. Le mur conservé avait une longueur de 4 m et une hauteur de 1.60 m. Il est probablement du siècle précédent.A environ 1.60—1.80 m plus haut que le mur mentionné, dans le secteur E, dans un sondage de 3 X 3 m, sous les taillis, les dépòts forestiers et l’humus est apparue une surface pavée de pierres plates de grandeur moyenne. Vers le versant supérieur de la colline, sa bordure a une espèce de mur sans mortier, comme protection contre le glissement des couches supérieures de la terre. A cet emplacement ainsi que sur le chemin vers son élargissement, il y a eu un nombre important de trou[1]vailles. A coté des fragments de tòle de fer — peut-ètre le revètement d’une porte — et d’un verrou, probablement du 16e s. (pl. IX), il y a ici une ferrure d’armennent de chevai (pi. VI, fig. 5; pl. XII, fig. 7), un anneau en fer, semblble à un bracelet aux extrémités aplaties (pi. VI, fig. 4; pl. XII, fig. 5), un petit silex (pl. XII, fig. 8), une pièce de monnaie en cuivre dorè illisible (hongrois du 16e s.?); deux couteaux en fer (pi. V ili, fig. 6, 7; pl. XIII, fig. 3, 6), un fragment de ferrure (pl. XIII, fig. 4) et un fragment de perle bleue (pl. XIII, fig. 10). Parmi les trouvailles, c’est la céramique qui est la plus nombreuse. Par la facture elle se distingue en plusieurs groupes. Comme elle était toute en position secondaire, nous n’avons pas de données stratigraphiques. La répartition en facture exige que celle-ci se lie à un groupe déterminé, marqué par des formes determinées. A còté de deux frag[1]ments dont il n’est pas possible de déterminer la période, on distingue les groupes gris-noir et noir[1]gris de vaisselle de terre cuite (semi-circulaire conique) (pl. X, fig. 1; pl. XII, fig. 2, 6), les écuelles coniques (pl. X, fig. 3), les couvercles (pl. X, fig. 9) et la vaisselle conique peu profonde (pl. XIII, fig. 7). Cette vaisselle est faite de terre mélangée avec du sable, parfois revètue d’un enduit fin noir brillant, et formée sur un tour de potier. Bien que certains fragments (pl. X, fig. 7, 8, 2) se distinguent encore de cette céramique, nous pouvons dire que la vaisselle ci-dessus représente en gros un groupe culturel homogène avec des types standard de poterie du Ier siècle de n. è. des territoires des Alpe Orientales et de la Panonnie. Elle est caractéristique pour les localités provinciales. L’auteur essaie de répartir le reste de la céramique en deux groupes. Elle est toute faite de terre fortement mélangée avec des débris de quartzite, plus ou moins finement revètue et achevée sur un tour de potier. A còté de la eruche, prédominent le pot allongé ovale avec une embouchure courbée à l’extérieur etprofilée (pl. X, fig. 5; pl. XI, fig. 1, 3, 4, 6, 7, 10—13) et un fond plat (pl. X fig. 11), les couvercles coniques avec un bouton au sommet (pl. X, fig. 6) et la vaisselle en forme d’assiette (pl. XIII, fig. 8). Le nombre des formes est certainement plus grand qu’il est possible de l’énumérer ici. Toute la vaisselle de céramique est de grandeur moyenne. La différence entre les groupes mentionnés est dans la couleur de la cuisson et le type des détails đ’ornementation, ce qui indiquerait deux variantes. Parmi ces matériaux, la poterie gris-jaune clair est de règie non orne[1]mentée ou décorée de cannelures horizontales de l’épaule à au-dessus du fond. Dans certaines locali[1]tés, on l’a trouvée sans Taccompagnement de céramique cuite gris-noir, qui est ornementée par une ligne ondulée ensemble avec des traits horizontaux ou par une sèrie de points assez grands (pl. XI. fig. 3, 4). Si nous prenons comme échelle le type d’ornementation, nous devons souligner que, bien que seulement avec des fragments particuliers, à Svete gore se présentent aussi des exemplaires qui sont décorés avec les deux ornements à la fois, bien que séparés, sur le mème récipient (pl. XI, fig. 2). A la différence des nombreuses localités avec cette céramique sur le territoire de la Slovénie et de la Croatie, où les deux groupes se présentent aussi en mème temps, à Svete gore on n’a pas découvert un seul exemplaire de la céramique soi-disant urbaine ou de son imitation. Il est carac[1]téristique pour cette céramique qu’elle se lie toujours aux habitats, où elle se présente d’une faqon plus ou moins intensive comme le produit des ateliers locaux, formé sur des modèles celtes. Son apparition en tant que la poterie gris-noir fait partie de la période avant les guerres marcomaniques. L’auteur est de l’opinion que la cuisson en des nuances plus claires fut un essai des potiers du pays pour imiter les produits des ateliers ouest-romains. Bien que toutes les conclusions pour cette céra[1]mique soient liées à des localités plus grandes de caractère urbain, il est certain que les divers chan[1]gements ont eu leur écho aussi sur la céramique de la campagne. L’apparition la plus précoce de la poterie romaine provinciale sous forme de grands récipients pour la conservation des aliments est datée de la période du Haut-empire à partir du Ier s. de n. è.,lorsqu’elle est encore toute faite à la main, cuite en gris-noir ou en noir-gris et décorée d’ornements faits comme avec un baiai. Mais avec cette poterie, dans la seconde moitié de ce siècle se mani[1]feste en mème temps aussi une variante plus jeune d’une cuisson claire faite sur un tour et déjà ornée de cannelures horizontales. Celle-ci est employée généralement aux 2e et 3e siècles, bien qu’elle dùt se maintenir par endroits encore plus longtemps. Après elle, surtout aux 4e et 5e siècles s’affirme la poterie cuite gris-noir. A Svete gore on n’a pas établi les données stratigraphiques qui permettraient de déterminer la succession des trouvailles particulières. Cependant il existe certains moments comme la découverte de la céramique du premier groupe sur le tas et la position secondaire de la céramique provinciale seulement dans la partie nord de la ferrasse, qui indiquent une certaine répartition des phénomènes particuliers. Les dernières recherches n’ont pas seulement confirmé les nombreuses conjectures des travaux précédents, mais elles ont prouvé aussi que le phénomène de la céramique romaine provinciale n’a pas une signification secondaire, mais dirigeante dans cette localité dans la période de la domina[1]tion romaine. Bien que le sommet eùt pu servir à des fins stratégiques à cause de sa position, surtout parce qu’il est situé à un point important, l’apparition à des emplacements particuliers d’os humains carbonisés impose la conjecture que les débris de poteries proviennent de tombes à incinération détruites. Un contraste à cela pouvait ètre les découvertes de couteaux et d’autres objets, ainsi que la multitude des os humains non incinérés. Contrairement à ces moments incertains, dans la période plus récente, il est confirmé que le versant orientai et en partie le sommet de la colline sont utilisés comme cìmetière. Aujourd’hui il est établi avec sùreté qu’on a commencé à enterrer ici au temps avant la colonisation slave. La découverte d’une perle bleue (pl. XIII, fig. 10) en position secondaire dans la tombe du sondage 5—5a/67 laisse la question de nombre des tombes ouverte, bien que c’est l’unique sépulture à cet endroit. Il n’est pas exclu que dans ce cas il s’agit d’un cimetière de famille, que la nécropole en ce temps-là ne s’est pas élargie non plus à la partie où se trouvait la nécropole vieille-slave de la phase plus récente. Sur la base des faits concernant l’appartenance culturelle de la tombe du sodage 5—5a, l’auteur conclut qu’au temps de la domination gothique dans le Noricum Mediterraneum et la Pannonie II, la vallèe de la Sotla était sous un contròie militaire spécial comme dans la Savia. Au voisinage immédiat se trouvait peut-ètre une station militaire, où servaient des soldats d’autres tribus germani[1]ques au moment où l’on en arriva à des déplacements déterminés au nord de la vallèe centrale du Danube. D ’après les découvertes faites de nos jours, il semble que cette période n’est pas immédiatement suivie de la colonisation slave comme dans certaines localités du voisinage immédiat. Mais dans chaque cas, les données archéologiques correspondent aux données historiques. La liaison de la culture matérielle de ces tombes avec les découvertes de l’autre còté de la Sotla jusqu’en Bosnie occidentale éclaire les luttes qui ont éclaté après la victoire sur les Hongrois entre les tribus croates et slovènes à ce bout du pays. L’auteur pense que justement d’après les sources historiques on peu Her la formation de deux chapelles dans la He phase de construction ovec l’activité des ministé[1]riels au service des premiers margraves de la region frontalière de la Savinja, qui ont posé pour toujours la frontière sur la Sotla entre les Slovènes et les Croates. Leur formation se He en mème temps avec la cessation de l’emploi de la ferrasse de Svete gore comme cimetière. Le fait que la boucle d’oreille en forme de grappe du type Belo Brdo est l’objet le plus récent du mobilier tombal, qui a pu venir en terre mème dans la seconde moitié du Ile siècle et que l’on peut piacer la forma[1]tion des chapelles dans une phase très precoce du style roman, c.-à-d. dans la phase preromane, atteste que leur rénovation ne se fonde pas directement sur la tradition du bätiment, mais sur la base du culte du heu mème. Ainsi, le caractère de culte de [’emplacement passe aux objets, tandis que la ferrasse obtient avec l’enceinte du camp une signification profane.Description des tombes et de leur inventaire: Tombes dans le secteur A : Tombe No 1. Fosse tombale détruite. En elle détruits le squelette 1 (4) d’un adulte et le squelette 2 (5) d’un enfant. Tombe No 2. Le fond de la fosse tombale, taillée dans une base rocheuse, était parsemé de terre noiràtre. Le squelette (6) était conservò de Fos de la cuisse à la plante des pieds. Il avait probable[1]ment les pieds chaussés. Orientation O-E avec 10° de déviation vers le sud. A 0,25 m de l’endroit où devrait étre la tète il y avait une boucle d’oreille en grappe du type Belo Brdo (pl. VI, fig. 3). Aux pieds de ce squelette se trouvait un os en position secondane. La tombe No 3 se trouvait à 0.60—0.80 m du bord de foudement du clocher, tout à fait dé[1]truit. Le squelette (7) était d’une personne très robuste. Tombe No 3a (8) — à 10 cm il y avait quelques ossements d’enfants. Tombe No 4. Dans la fosse tombale de 1.85 m de longueur, orientée O-E avec 25° de déviation vers le sud il y avait des restes (9) d’un squelette détruit. Tombe No 5. Dans la fosse tombale en partie taillée dans le rocher gisait un squelette (10), orienté en direction O-E avec 5° de déviation vers le nord. Sans mobilier. Tombe No 6 (11). Un squelette en partie détruit avec les os des bras, du bassin in situ, le reste dispersé. Tombe détruite par la sépulture de la tombe No 5. Tombe No 7 (12). Dans la fosse tombale creusée dans la terre gisait un squelette bien conservé jusqu’aux genoux en position dorsale avec les bras au corps, orienté O-E avec 10° de déviation vers le nord. Sans mobilier. Entre les tombes No 6 et 7 il y avait quelques fragments d’os cràniens. Tombe No 8. Le fond de la fosse, creusée en partie dans la roche, était couvert de sable fin. Le squelette (13) bien conservé était orienté en direction O-E avec 5° de déviation vers le nord. Sans mobilier. Tombe No 9 — sous les tombes 4 et 6. Le fond de la fosse, taillée dans la roche, était couvert d’une mince couche de sable. Le squelette (14) d’une femme, relativement bien conservé, gisait en direction S-N avec 5° de déviation vers l’ouest. Mobilier: de chaque còté de la tète un anneau avec une bouche en S en fil de métal blanc (pi. VI, fig. 2). La tombe No 10 se trouvait sous la tombe 7, avec la fosse creusée dans la roche. Le squelett (15), probablement de femme, était sans tète et sans pieds en direction O-E avec 5° de déviation vers le nord. A l’endroit où se trouvait jadis la tète, il y avait le mobilier suivant : de chaque còté une boucle de la tempe avec les éxtrémités coupées droit en alliage blanc et une boucle d’oreille en bronze avec deux bouts oblonges au-dessus de l’anneau (pl. VI, fig. 1). Tombe No 11. La fosse, creusée dans l’humus, contenait le squelette (16) sans tète et la partie inférieure des jambes, en direction O-E avec 12° de déviation vers le nord. Sans mobilier. Tombes dans le secteur B: Tombe No 1. Dans la fosse, couverte de sable fin, gisait le squelette (17) bien conservé d’une jeune personne en direction O-E. Sans mobilier. Tombe No 2. Dans la fosse creusée dans la roche avec le fond parsemé de sable gisait le squelette (18) d’un adulte, et au còté gauche le squelette (19) d’un enfant. Tous deux en direction S-N avec 30° de déviation vers l’ouest. Sans mobilier. Tombe No 3. Dans la fosse creusée dans la roche avec le fond parsemé de sable gisait le squelette (20) sans pieds, en direction O-E. Sans mobilier
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