Raziskave na Svetih gorah na Bizeljskem
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Dans son rapport sur les recherches de sondage sur les Svete gore dans les années 1967 et 1968, l’au teu r se lim ite seulem ent aux résultats obtenus au cours du travail effectué autour des cinq églises au sommet de la colline, parce que les résultats des recherches dans les chapelles de St. Georges et de St. M artin seront présentés ailleurs. Les sondages effectués sur la colline (au nom bre de 34) ont m ontré qu’une nécropole s’est étendue autour des églises. On a établi trois tom bes in situ (sondage Nos 9, 31 et 32), tandis que le reste de la nécropole é ta it anéanti. D’après les m enus restes des ossem ents hum ains dans les sondages particuliers, la nécropole s’est élargie de la chapelle de la V ierge de Lourdes (sondages Nos 12, 13, 17, 18) p ar la crête vers la chapelle de St. Sébastien (sondages Nos 5, 5 a, 9, 31, 32) à la chapelle de St. Georges (sondages Nos 1, 2). D ans le sondage Nos 5, 5 a, on a établi des côtés nord et ouest u n em placem ent rectangulaire enfoncé à même la roche. Il se trouvait en direction S—N et il é tait enduit d’une forte couleur rouge à p a rtir de 0,20 m de profondeur. Dans cette couche il y avait quelques ossem ents hum ains, u n e lance de fer et un plus grand nom bre d’ossements d ’anim aux et des fragm ents de céramique. Des découvertes particulières fu re n t faites sur le vieux chemin qui mène de la colline vers le col, comme m atériau x d’érosion venant du somm et. Les sondages effectués sur le col et autour des bâtim ents existants à cet endroit, pour établir si une p artie de la nécropole s’étendait peut-être aussi à cet em placement, étant donné la tom be découverte au voisinage im m édiat du col avant la guerre au cours de l’élargissem ent du chemin de B istrica sur Sotla[1]Pilštajn, furent négatifs. Les tom bes Nos 1 et 3 étaient orientées W—E, la tom be No 2 S—N. Alors que les tombes Nos 1 et 2 étaient intactes, le squelette de la tom be No 3 avait été coupé à la p artie inférieure ju sq u ’aus genoux lors de l’ouverture du chemin qui mène à la B asilique de la Vierge. L’em placem ent, où les tom bes ont été trouvées, était nivelé déjà du tem ps de l’u tilisation de la nécropole e t les fosses étaient taillées d an s la roche superficiellem ent et entourée aux endroits p arti[1]culiers de grosses pieres. A u-dessus de la tom be No 1, les ossem ents hum ains d’une tom be anéantie avaient été dispersés dans le subhumus. D’après l’inven[1]taire découvert des tom bes Nos 1 et 2, l’a u te u r situe cette partie de la nécropole à la fin du 9e et au début d u 10e siècle. Les m atériaux qui ne se lient pas au cercle culturel carantanien, ni à celui de Belobrdo, étant donné les découvertesd'Obrež et de Sele près de Dobova, font supposer qu’ils peuvent représenter un groupe local, dans lequel des élém ents particuliers ont le u r origine dans la Pannonie septentrionale ou dans la region du D anube central. A la diffé[1]rence des pièces ajoutées découvertes dans les tom bes in situ pour la lance de fer, l’auteur adm et la possibilité, à cause de son caractère atypique, qu’elle pouvait appartenier à un niveau tem porel plus ancien, c.-à-d. a u tem ps avant de la colonisation slave. En faveur de cette hypothèse p a rle ra it aussi la céra[1]mique, trouvée à cet endroit et qui a le caractère de la basse antiquité. L’auteur suppose que ces découvertes aussi appartiennent aux tom bes anéanties. E tant donné ces découvertes, faites jusqu’ici à cet endroit, l’a u te u r pense que la partie supérieure du sommet, où se trouvent les cinq églises, servait aux fins du culte, parm i lesquelles il fa u t ranger aussi la nécropole. Pour la période, où l’on a commencé à utiliser cet em placem ent com m e cimetière, l’auteur laisse la question ouverte, alors que pour la cessation de l’utilisation à cette fin, il suppose qu’elle est survenue avec la liquidation d e la nécropole. La preuve en est l’absence d’ossem ents hum ains longs et les crân es des squelet[1]tes. Comme de telles liquidations sont survenues à l’époque ro m an e avec la construction de charniers, il pose la possibilité de la suspension d ’une telle utilisation à cette période. P arm i les découvertes dans les sondages et à la surface d u sol, l’auteur apporte quelques fragm ents céram iques de poteries, qui ont les caractères de l’antiquité tardive et de la période slave. L’auteur a consacré un e attention particulière à un fragm ent trouvé com me m atériau d’érosion à la surface du sol. D’après lui, le fragm ent rappelle une variante de la céram ique apulienne, qui se m anifeste dans les îles adriatiques et sur les côtes de D alm atie et d’Istrie aus 4e, 3e et 2e siècles avant de notre ère. Le fragm ent est un exem plaire isolé et tem porellem ent il ne se relie à aucun élém ent découvert ici ju sq u ’à nos jours.
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