K topografiji rimske mestne četrti na današnjem Zgornjem Bregu v Ptuju

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  • Iva Mikl

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précisions, bien que, d’après les recherches et les études faites jusqu’à présent, il soit clair que la ville se composait, le long- de la grand-route vers l’est et du pont sur la Drave, de quartiers urbains étendus, se développant d’une manière assez autonome. Les fouilles de la première moitié de l’année 1963 avaient pour but d’éclaircir le développement spatial et temporel d’un de ces quartiers urbains, Zg. Breg à Ptuj sur le lot de terrain 295 à Zg. Breg. La stratigraphie décrite et les traces d’ouvrages de construction ainsi que les restes de cultures nous font suivre plusieurs périodes de culture et de construcion sur le terrain et plusieurs phases de constructions. Sur le terrain il n’a été possible de trouver aucune trace des débuts du premier siècle. Mais le premier siècle avancé a laissé des couches de peuplement, bien que sans traces d’architecture dans la partie centrale des fouilles, et un fossé de drai[1]nage primitif et une tombe brûlée dans la partie méridionale. Cela nous prouve que cette partie a déjà été cultivée probablement de peuplement clairsemé comme bordure des colonies auprès d’un camp militaire. Du 2« siècle et des débuts du 3« siècle, dans la partie extrême nord des fouilles nous avons découvert des traces insignifiantes de bâtiments et, par ailleurs, d’épais[1]ses couches avec des restes de cultures (des couches terreuses et argileuses dans la partie centrale des fouilles). Cela prouve que probablement dans la plus grande partie du terrain s’étendaient des jardins et que les bâtiments à cette époque ac[1]compagnaient encore beaucoup plus la route. C’est de cette époque que pourraient être le canal ouvert en imbriquées et les puits dans la partie occidentale des fouilles. Le bâtiment n’a pris une plus grande ampleur vers le sud que vers la fin du 5« siècle, lorsque sur le terrain exploré est apparue une unité de construction plus grande avec un grand espace avec de la mosaïque et des murs peints et lambrissés. Vers le sud, de cette unité de construction ou de l’unité voisine faisait partie encore une cave déterrée, quelques traces insignifiantes de pavés et des traces d’ouvrages de construction légers dans toute la partie méridionale des fouilles jusqu’à la route de Maribor. Cette phase de construction a été réparée peut-être une génération ou deux après sa formation. Des réparations sont visibles dans les couloirs près de l’emplacement avec la mosaïque et dans la cave, où une pièce d'argent de Con[1]stance dans la brûlure au-dessus du pavé inférieur nous aide peut-être à dater au moins approximativement cette réparation. Cette unité de construction a été un peu plus tard entièrement remaniée, respectivement elle s’est décomposée en plusieurs unités, comme nous le montre toute la partie occidentale des fouilles, où l’on voit sur les traces de la phase pré[1]cédemment décrite des traces avec plus grande déviation des lignes vers l’ouest. Cette phase aussi a couvert de bâtiments assez loin le terrain vers le sud, car on peut trouver sur tout le terrain déterré des traces ainsi orientées, respectivement des fouilles, où les matériaux des fondations ont été écartés.La fin de la colonisation de ce terrain et la fin des constructions dans la partie examinée du quartier urbain dans le Zgornji Breg actuel peuvent être situées à fin de la vie de Poetovio. Il est peut-être quelque peu caractéristique que les pièces d’argent cessent dans le terrain exploré avec Théodose et Honorius. Dans les ruines des bâtiments on a enterré aussi 27 tombes avec squelettes, entièrement ou partielle[1]ment conservées (celles qui ne sont conservées que partiellement ne sont pas portées sur le plan). Ils sont enterrés en position allongée sur le dos, sans règle quant à l’orientation, seulement pour quelques exemplaires les tombes sont revêtues de tuiles, dans les autres cas sans traces de construction tumulaire. Elles ont des compléments caractéristiques: bracelets, colliers, anneaux, fioles et gobelets. Les tombes sont effectuées en groupes, probablement en tombes familiales, peut-être pour plusieurs générations. Les plus jeunes ont des traces de constructions, mais vraisemblablement le cimetière s’est formé ici peu après l’abandon des bâtiments. La plus ancienne des tombes déterrées est exécutée encore dans le rite entièrement antique avec la lampe à huile et le balsamaire en verre. Il faut accorder une atten[1]tion particulière aux matériaux du cimetière, parce que les compléments des tombes apparaissent jusqu’à l’arrivée même des Slovènes. Les compléments des tombes nous aideront probablement dans l’étude de la continuité de la culture matérielle du haut moyen âge sur notre sol. Ces constatations confirment les constatations plus anciennes que sur le Zgornji Breg actuel à Ptuj se trouvait surtout un quartier d’habitation, qui s’étendit en quittant la route, atteignit une plus grande ampleur aux 3e et 4e siècles, dépérit bientôt et servit par la suite de lieu de sépulture. A cette période nous pouvons y voir le quartier d’habitation des couches urbaines supérieures. Mais il n’était pas particulièrement dense — les groupes d’habitations plus grands avaient vraisem[1]blablement aussi des jardins et des bâtiments économiques. Les bâtiments ne crois[1]saient pas selon une conception unitaire, car les phases particulières étaient très différemment orientées. De cette manière, le tableau du développement spatial d’un des quartiers urbains du Ptuj antique est quelque peu précisé surtout temporelle[1]ment.

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Biografija avtorja

Iva Mikl

Mestni muzej, Ptuj

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Objavljeno

1965-05-03

Kako citirati

Mikl, I. (1965). K topografiji rimske mestne četrti na današnjem Zgornjem Bregu v Ptuju. Arheološki Vestnik, 16(1). Pridobljeno od https://ojs.zrc-sazu.si/av/article/view/10036

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