Num propter vitam vivendi perdere causas
Abstract
Ce texte est une lecture de l'éthique kantienne à travers la critique que Jacques Lacan a adressé à Kant. Pour résoudre l'antinomie de l'éthique kantienne résultant de la critique lacanienne, l'auteur propose de relire la théorie kantienne du sublime comme réponse aux reproches que Lacan fait par rapport à sa théorie éthique. Kant, comme le suggère auteur, reprend sur le terrain du sublime pratiquement tous les points de sa philosophie pratique qui ont été »attaqués« dans la critique proposée par Lacan. On pourrait lire la théorie du sublime dans la troisième Critique comme un geste par lequele Kant a soustrait au régime de l'action morale, jalonné par la Critique de la raison pratique, une partie de son territoire en l'accordant à l'esthétique.Downloads
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Published
2016-01-21
How to Cite
Zupančič, A. (2016). Num propter vitam vivendi perdere causas. Filozofski Vestnik, 13(2). Retrieved from https://ojs.zrc-sazu.si/filozofski-vestnik/article/view/3839
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